Le 8 août, les deux détenus basques de la prison de Valence (Drôme) avaient commencé une grève de la faim pour demander à ne pas être séparés pendant leur mouvement de protestation. Entendus par le directeur du centre pénitentiaire, Ibon Goieaskoetxea et Alex Zobaran ont recommencé à s’alimenter vendredi, mais leur bataille ne s’arrête pas là. Ils sont toujours au mitard, à leur demande, pour réclamer le rapprochement de leur domicile et le regroupement avec d’autres détenus Basques.

Ils dénoncent ce qui leur avait été présenté comme un rapprochement lorsqu’on les avait transférés de Lyon et de Fleury-Mérogis à Valence.