Le président directeur général est accusé de ne pas avoir respecté le code du travail et réagit. Dans un courrier envoyé à MEDIABASK, il assure que la bataille juridique qui l’oppose à l’Urssaf et à la Dreal Aquitaine pour travail dissimulé via une entreprise sous-traitante portugaise relève du droit européen et non pas du droit français. Raison pour laquelle il a fait appel de sa condamnation en première instance. La cour d’appel de Pau doit maintenant se saisir du dossier.
De plus, il certifie que les conducteurs Portugais recevaient un salaire de 1 900 euros net mensuel et non pas 500 euros.
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