
Les fonctionnaires lui auraient ôté son droit de visite, après que le scanner ait détecté un téléphone portable dans son sac-à-dos. Elle a tenté d'expliquer qu'il s'agissait d'une étourderie, leur faisant remarquer que si elle avait voulu introduire cet appareil, elle ne l'aurait pas fait passer par le scanner. Mais les responsables de l'accès à la prison sont restés campés sur leur position. Après discussion, ils ont averti la gendarmerie qui a conduit la détenue au commissariat de Melun.
Les proches sont en contact avec la défense de Karrera afin d'essayer d'éclaircir la situation. Le jeune femme a été relâchée le soir même.
Ils ont exprimé leur crainte au sujet des perquisitions répétées de ces dernières semaines dont souffrent les prisonniers du centre pénitentiaire Sud-Francilien, de la ville de Réau. "C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase" ont-ils expliqué à NAIZ.
Dans un communiqué, Etxerat a dénoncé "la cruauté" d'actions "démesurées" comme celle-ci. "Des actes qui – ajoutent-ils - conduisent les proches et des prisonnier-e-s politiques basques à des situations de pression et de harcèlement continus qui s'accentuent d'autant plus lorsqu'elles touchent des mineurs."
Traduction de NAIZ.

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