Environ soixante-dix personnes de différents collectifs (Cade, Bizi...) sont actuellement postées devant la Cité de l'Océan pour dénoncer le projet de LGV. Elles ont notamment accroché des banderoles sur la Dame de fer, en se justifiant devant le maire de Biarritz, Michel Veunac, venu à leur rencontre : "On a mis des banderoles sur une œuvre d'art. Euskal Herri, c'est une œuvre d'art".
Alors qu'Alain Rousset, le président du conseil régional d'Aquitaine, arrivait pour présenter ses vœux à la Cité de l'Océan, les militants, dont deux sont déguisés en juge, lui ont remis un dossier de la Cour des comptes. Elle juge le projet de LGV "inutile". Les militants eux, ajoutent : "La LGV est un projet public qui perd de l'argent, tout comme celui de la Cité de l'Océan". Alain Rousset a pris le dossier et a accepté de l'étudier.